Unis Contre l'Extrême Droite

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Non Marion anne perrine n'assume pas

Marion anne perrine le pen n'assume rien du tout puisque:
-Elle refuse le terme de "faux tract". Or y avait il un signe comme quoi c'était le fn qui avait rédigé ce tract? Non il était anonyme et les militants ont tenté de fuir une fois repérés.
-Elle n'assume pas (en tant que présidente du fn), la paternité de ce tract, alors qu'elle s'en est vantée devant les médias (prise à son propre jeu)
-Pire elle a tenté pendant le procès de rejeter la faute sur les deux militants en se défaussant de sa responsabilité.
-Et enfin, puisque soit disant elle assume, elle attaque une décision de justice non pas sur le fond mais sur la soit disant partialité de la décision du tribunal.

Mais puisque madame a fait appel, que les juges lui appliquent la seule peine qui vaille: la peine d’inéligibilité car au final si il n'y a qu'amende, qui paiera?
Les militants assez aveuglés pour payer, et dans ce cas, elle n'aura vraiment rien assumé du tout!

 

 

http://www.dna.fr/actualite/2014/04/04/marine-le-pen-conteste-le-terme-de-faux-tract

 

JUSTICE Marine Le Pen conteste le terme de «faux tract»

Marine Le Pen: "J’assume l’intégralité de mes propos et j’assume l’intégralité de ma pensée." AFP / Kenzo TRIBOUILLARD

Marine Le Pen: "J’assume l’intégralité de mes propos et j’assume l’intégralité de ma pensée." AFP / Kenzo TRIBOUILLARD

 

 

Marine Le Pen, présidente du Front national, a contesté ce vendredi «l’impartialité» du tribunal correctionnel de Béthune (Pas-de-Calais) qui l’a condamnée en première instance à 10.000 euros d’amende dans l’affaire du «faux tract» de Jean-Luc Mélenchon, appellation qu’elle «conteste formellement».
Marine Le Pen a fait appel de cette condamnation. Les deux militants soupçonnés d’avoir distribué les faux tracts, dont l’un était tête de liste FN aux municipales à Maubeuge (Nord), ont été, eux, relaxés. «Ce qui est grave, c’est ce qu’a fait le tribunal de Béthune dont je vous signale que j’avais déposé contre lui une requête en suspicion légitime. Ce qui prouve que, à l’avance, je savais que ce tribunal n’allait pas juger avec impartialité cette affaire. J’ai donc fait appel et je ne suis pas condamnée pour l’instant», a réagi Marine Le Pen sur RTL.
Fin mai 2012, les équipes de Mme Le Pen, candidate aux législatives face à M. Mélenchon dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais, avaient distribué un tract comportant une photo de ce dernier et reproduisant l’une de ses phrases prononcées lors d’un discours à Marseille le 14 avril précédent: «Il n’y a pas d’avenir pour la France sans les Arabes et les Berbères du Maghreb.» Le tract sur fond vert, couleur de l’islam, comportait également la mention «Votons Mélenchon» et sa traduction dans un arabe approximatif. «Ce n’est pas un faux tract. Je conteste formellement cette incrimination. Il ne s’agit évidemment pas d’un faux tract, il s’agit en réalité de la lâcheté de M. Mélenchon qui a refusé d’admettre, d’assumer, un propos politique qu’il a tenu et qui consistait à considérer que l’immigration est une grande chance pour la France. On lui a rappelé cette phrase, évidemment, ça ne l’a pas aidé sur le plan électoral», a poursuivi la présidente du Front national. «J’assume l’intégralité de mes propos et j’assume l’intégralité de ma pensée. Ce qui n’est manifestement pas le cas de M. Mélenchon», selon elle.

par AFP, publiée le 04/04/2014 à 09:02


04/04/2014

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